
Avec sa 2ème victoire de l’année au RBC Canadian Open, Jason Day confirme que la guerre du putting s’est jouée lors de ces 4 tours de l’Open Canadien. Retour et analyse sur les évènements.
Dans un mouchoir de putts
Tout s’est joué dans le dernier tour. Les 5 premiers du tournoi finissent avec un coup d’écart par rapport à l’autre
- Jason Day – 17
- Bubba Watson -16
- David Hearn -15
- Jim Furyk -14
- Ton Hodge et Stewart Cink -13
Un tableau qui ne s’est joué qu’au dernier trou et dont les Canadiens auraient sûrement voulu voir Hearn gagné ce tournoi.
Mais c’est sans compter le putting diabolique de Jason Day (3 birdies d’affilés sur les 3 derniers trous) qui viendra subtiliser la possibilité de play-off et la victoire au putter en feu (lui aussi) de Watson qui ne rentre pas son approche.
Un fin de tournoi comme on les aime qui a d’ailleurs montré que le petit jeu est la clé. Une leçon retenu par le vainqueur et qui lui avait défaut lors de l’open britannique, ne lui permettant pas d’aller en play-off.
Le putting l’arme maîtresse
Tout d’abord avec 30 % du temps de jeu le petit jeu (coups à moins de 30 mètres du green) est un compartiment de jeu. Lorsque vous faites des séances d’entraînement regardez bien qui vous croisez sur la zone d’approche et sur le putting green. Souvent les bons joueurs.
Passez du temps à répéter vos exercices, pied en dessous ou dessus de la balle devrait vous permettre de baisser d’index.
Trop de joueurs passent trop de temps à régler leur swing et omettent de travailler ce secteur clé qui a permis à Jason Day de gagner.
Et si vous voulez encore enchaîner des seaux de balles, dites vous une chose.
Le seul club que vous sortez à chaque trou c’est le putter.
Bon (petit jeu)