Avec un final magique qui vient couronner Danny Willet, et qui voit attribuer la victoire à un brittanique 20 ans après celle de Nick Faldo, le Masters 2016 nous a réservé des surprises et a confirmé qu’à Augusta tout est magique et imprévisible. Voici les 8 choses que j’ai retenu de ce Masters.
- Le Masters est unique
Seul un tournoi comme le Masters peut procurer autant d’intensité. Qui aurait cru que Danny Willet aurait pu l’emporter ? Pas que je remette en cause les qualités du joueur, mais face au putting de Jordan Spieth, l’écart semblait impossible à remonter et pourtant…. - Même si tu mènes après 3 tours et 10 trous rien n’est acquis
Même s’il était tard, je n’en ai pas cru mes yeux…Une balle dans l’eau quand on même de 3 coups , c’est grave mais pas catastrophique. Mais quand, de la dropping zone, Jordan la mise direct dans l’eau en arranchant la moitié de la création, c’était incroyable. J’ai vu dans ces yeux qu’il savait qu’il ne gagnerait pas le tournoi. - Les anglais sont vraiment bon à ce jeu
Avec 6 anglais dans le top 10 dont le vainqueur Danny Willet, plus que tout, les anglais sont vraiment forts à ce jeu. Un très bon signe pour la Ryder Cup ou encore les Jeux Olympiques ! - Quand tu penses ne pas venir à un tournoi majeur pour des raisons familiales et bien il faut quand même y aller.
Heureusement que le fils de Danny Willet est né la semaine précédente du Masters, sinon Danny n’aurait pas pu participer ! C’est en tout cas ce qu’il avait prévu. - Quand ça souffle, le score s’envole
Incroyable moyenne de score lors du 2 ème et 3ème tour avec un peu plus de 75 soit 3 au dessus du par. D’ailleurs seuls les 6 premiers ont finis sous les par sur 4 tours. - Romain Langasque a tout d’un grand !
Pour un premier Masters, Romain (amateur de son état) franchi le cut ! Mieux que Phil Mickelson - Les greens sont diaboliques
Et Ernie Els l’a prouvé dès le premier tour avec son 10 sur le premier trou dès le premier tour. Mais ce n’est pas tout Rory en a fait les frais aussi, bref tous les joueurs ce week-end ont eu un putting difficile. - La position de drapeau du 16 sur le dernier tour est magique !
Avec pas moins de 3 trous en 1 sur le dernier tour, la position de drapeau sur le 16 sur le dernier tour est toujours magique.
Et que dire du trou en 1 de Louis Oosthuizen qui a presque permis de mettre la balle de son partenaire dans le trou aussi !
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